Por Darlin Batya Moise
La capitale est en deuil le peuple Haïtien est sidéré desesperè démoralisé la culpabilité les ronges pour avoir laissé certaines personnes les manipuler pour dètruire l’image du président c’est vrai qu’il n’était pas un saint ni le président parfait mais il ne méritait pas de mourir ainsi . La presse internationale s’est dépêche de faire une campagne médiatique peu flatteuse à Haïti comme si c’était la première fois qu’un président en fonction était tué.
En 1865 le président américain Abraham Lincoln à été assassine par un sympathisant sudiste. James Garfield en 1881 fut tué par Charles J Guiteau par ce qu’il n’a pas été nommé consul à Paris, William McKinley en 1901 meurt à deux balles par un anarchiste.
Mais de cela, personne n’en parle, mais Haïti qui fut victime d’un complot dont le président a été éliminé porte l’étiquette
Darlin Batya Moise.
Le peuple désemparé est laissé les bras balancés comme à l’accoutumé par les dites oppositions qui promettaient l’or et diamants. La misére en a profité pour installer son lieu de domicile fixe à la capitale ainsi que les mauvaises mœurs, la classe moyenne réduite à presque rien prendra la poudre d’escampette pour la République voisine dans l’espoir de respirer un peu fatigué du kidnapping et autres.
Malheureusement, ils ne sont pas la bienvenue pour certains. Habituer au campagnard qui traverse à pied tous les jours les frontières qui sans aucune pièce d’identité, car l’état ne se concentre que sur Port-au-Prince, il oublie l’existence de ces gens.
La classe moyenne et la bourgeoisie aujourd’hui font face aux conséquences de leurs indifférences vis-à-vis de leurs devoirs de citoyens.
Ils ne mesuraient pas la gravité de la non-participation du citoyen à tout ce qui concerne son pays. Le regret ronge le cœur de la majorité, ils aimeraient bien retourner en arrière, mais malheusement.